EDITORIAL


Il est important pour le genre humain de savoir 
vers qui se tourner pour   obtenir le     véritable 
 salut l’identité du fils de Dieu venu dans le monde 
pour sauver les hommes est révélé de manière
 solennelle : »moi je suis » (Jn8, 58).
Le chemin ,la vérité et la vie (Jn 14,6).le salut 
de tout homme dépend donc maintenant de sa relation 
intime avec celui qui ale pouvoir de donner sa vie et 
la reprendre .Désormais tous les hommes sans distinction
 peuvent être greffés, par la foie ,sur ce cep vivant et
 vivifiant .l’existence chrétienne comme la vie de l’Eglise 
se trouve  ainsi intégrés dans la dynamique des relations 
qui unissent le Père ,le Fils , l’Esprit saint et le genre
 humain : »Dieu est plus grand que notre cœur ,et il 
connait toutes choses ».
                                                                                
AB. Alexis  


MEDITATION


5th dimanche de pâques année B
Dimanche dernier Jésus s’était comparé au bon pasteur celui
 qui  donne sa vie pour les brebis, qui connait  ses brebis 
et que ses brebis connaissent, qui souhaitent aussi que toutes  
l’accepte comme pasteur.
Aujourd’hui,  a nouveau, Jésus parle  lui même cette fois ci, 
il se compare a la vigne .une vigne plantée par un vigneron qui 
est son Père, une vigne qui donne naissance a des sarments  et
 leur offre fruits  abondants. En se disant la vraie vigne, Jésus
  prend le relais du peuple d’Israël et inaugure un peuple nouveau 
.l’appartenance à ce peuple n’est plus d’ordre éthique, racial 
ou religieux mais dépend de la relation étroite avec jésus la 
vraie vigne. Qui se détache du cep ce dessèche ; qui demeure 
lié à Jésus porte du fruit .mais demeuré lié avec jésus, c’est
 accepter de souffrir d’être un sarment  que le vigneron  taille
 pour assurer la récolte  future tout comme Jésus qui s’apprête
 à entrer dans sa passion, chemin obligé de sa résurrection
 et de sa glorification par le Père.
Frères et sœur sommes nous –nous ces sarments reliés 
habituellement à Jésus par une vie de foi, de charité 
et de prière, par les sacrements ?
Ab. Dieudonné